Contes merveilleux
René Bazin
Peintre des âmes et des paysages, René Bazin confie quelques-uns des récits qu’on lui contait, enfant, au coin du feu, à l’heure où les ombres s’allongent.
Peintre des âmes et des paysages, René Bazin confie quelques-uns de ces récits qu’on lui contait, enfant, au coin du feu à l’heure ou les ombres s’allongent.
Ces anecdotes angevines dont la grâce et le style ont enchanté des générations de lecteurs mêlent histoire locale, tradition orale et merveilleux chrétien. Reflets d’un monde disparu, leur noblesse s’inspire des idéaux, des joies et des peines d’une vie sociale citadine ou paysanne devenue étrangère aux déracinements de la vie moderne.
Un hymne aux forces de l’Esprit.
Sommaire : Le moulin qui ne tourne plus ; La jument bleue ; Le pois fleuri ; Les chardonnerets de Galilée ; Les deux chagrins ; Le brin de lavande ; La boîte aux lettres ; La réponse du vent ; Le grenadier de la belle neuvième ; Souvenir d’artiste ; La veuve du loup ; Le quatrième pauvre ; Celui qui menait la rivière ; Le retour.
Juriste et homme de lettres, René Bazin est né à Angers en 1853. Journaliste au Figaro, au Journal des débats et à L’Écho de Paris, il est l’auteur de nombreux romans parmi lesquels La Terre qui meurt (1899), Les Oberlé (1901), Le blé qui lève (1907) et Magnificat (1931).
Ses biographies de Charles de Foucauld et saint Pie X demeurent des références d’hagiographie. Élu à l’Académie française en 1903, il meurt en pleine gloire littéraire le 19 juillet 1932, père d’une famille de huit enfants.
Du même auteur :
Souvenirs d’enfant
Contes et paysages de province
Magnificat
Fils de l'Église, visages de saints
Petite vie de Charles de Foucauld
Les trois peines d'un rossignol
Dans la presse
Renaissance catholique, n°104, novembre-décembre 2008
Voici un recueil de contes qu’il faut lire comme il a été reçu par l’auteur : à haute voix, au coin du feu, pendant des vacances.
Le monde qu’il décrit (mœurs chrétiennes imprégnées de merveilleux et de mystère) a tant disparu que sa lecture requiert, sous peine de laisser la jeune génération indifférente, une mise en scène : celle qui convient naturellement au genre du conte : la transmission orale.
Chaque récit comprend une petite dizaine de pages, le style en est suranné et fort joli, enfants, adolescents difficiles et adultes se laisseront charmer et porter par la morale naturelle contenue en chaque épisode. L’effort en vaut la peine : notre patrimoine mérite bien d’être conservé !
À partir de 11 ans.
Marie Darnac
La Nef, n° 217, juillet-août 2010
Ces contes parus en 1897 sour le titre de Contes de Bonne Perrette sont réédités pour la joie des enfants bons lecteurs. Surtout une remarquable occasion de partager le plaisir des belles histoires pour une lecture à voix haute en famille.
Valérie d’Aubigny
Fiche technique
- Couverture
- souple
- Date de parution
- septembre 2008
- Dimensions
- 14.8 x 21 cm
- Pages
- 139