Les Trois procès de Jésus, ses deux flagellations
Olivier Krafft
La mise à mort de Jésus suscite encore d’âpres controverses quant à ses responsables, quant à ses procédures. L’auteur, juriste et passionné d’Écriture Sainte, s’est penché sur le droit juif et romain en Terre sainte à l’époque de Jésus et livre ici les conclusions de son enquête...
La mise à mort de Jésus suscite encore d’âpres controverses quant à ses responsables, quant à ses procédures. L’auteur, juriste et passionné d’Écriture Sainte, s’est penché sur le droit juif et romain en Terre sainte à l’époque de Jésus et livre ici les conclusions de son enquête. Le Christ connut trois procès successifs, l’un face au Sanhédrin, deux autres face à Pilate.
L’idée reçue d’une responsabilité unique incombant aux Romains contraints à la répression d’une révolte chrétienne ne résiste guère à l’examen des faits. Mais c’est le péché de l’Humanité tout entière qui crucifia Jésus Fils de Marie à travers ceux qui décrétèrent sa mort au seuil du premier millénaire.
L’auteur
Licencié ès lettres (Sorbonne) 1948, Docteur d’État en droit (Paris) 1953, Olivier Krafft a exercé la profession d’avocat à Paris depuis sa prestation de serment en 1950 jusqu’à son intégration, sur titres, dans la magistrature fin 1981. L’honorariat lui a été attribué en 1994.
Il a publié La politique de Jean-Jacques Rousseau, aspects méconnus (1958) et J’accuse Gambetta et les républicains (2000).
Sa première publication concernant les procès de Jésus date de 1966 dans la revue de Larousse, Vie et langage, étude relative au changement du sens du lavement des mains, expression passée d’un sens neutre à celui de lâcheté attribuée depuis lors à Pilate.
Dans la presse
Olivier Krafft est juriste. Passionné d’Écriture sainte, il s’est penché sur le droit juif et romain à l’époque du Christ. Pourquoi les « trois » procès de Jésus ? Parce qu’il en subit trois successifs : l’un face au Sanhédrin et deux face à Pilate.
L’éditeur de cette étude qui, c’est le moins qu’on puisse dire, sort des sentiers battus, indique : « L’idée reçue d’une responsabilité unique incombant aux Romains contraints à la répression d’une révolte chrétienne ne résiste guère à l’examen des faits. Mais c’est le péché de l’humanité tout entière qui crucifia Jésus Fils de Marie à travers ceux qui décrétèrent sa mort au seuil du premier millénaire. »
Olivier Malentraide
Famille Chrétienne, n° 1575, du 22 au 28 mars 2008
Olivier Krafft, juriste passionné de Bible, étudie, au plus près des Évangiles et du droit juif et romain de l’époque, la condamnation de Jésus. Il montre qu’il a connu trois procès successifs, l’un devant le Sanhédrin, les autres devant Pilate. Et que la responsabilité de sa mort est le péché de toute l’humanité.
Fiche technique
- Couverture
- souple
- Date de parution
- février 2008
- Dimensions
- 16 x 24 cm
- Pages
- 168