Peut-on réenchanter la France ?

   Pendant trente années consacrées à la chirurgie cardiaque, l’auteur a gardé les yeux rivés sur le champ opératoire et la littérature technique internationale. À l’heure de la retraite, il relève la tête et découvre un paysage social, politique, économique et moral qui n’évoque en rien la France de sa jeunesse. En embrassant la cause atlantico-mondialiste, voilà notre pays mal dans sa peau, timide, emprunté, relégué par d’arrogants voisins “amis” au statut de relique de la vieille Europe.
   Il tente ici de remonter aux causes de cette décadence. Comment le pays de Vercingétorix, de saint Louis, de sainte Jeanne d’Arc, de Louis XIV, de Bonaparte et Charles de Foucauld est-il tombé si bas ? Universalisme des Lumières ? Perte des valeurs chrétiennes ? Trahison ? Complot idéologique ? Dictature de l’Argent Roi ? Le but de son exploration est une identification précise des virus responsables de notre désintégration physique et spirituelle en cours. Aux grands maux les bons remèdes. Encore faudra-t-il briser les chaînes du mensonge pour espérer vaincre les démons de 1789. Ce livre est un cri d’indignation et d’espérance, une invitation à la Résistance. Face aux utopies mortifères et à l’islam agressif se dresse la vocation de la France éternelle.

   Après une délicieuse adolescence à Abidjan, dans les derniers feux de l'empire colonial français, puis des études de médecine à Paris, Jean-Pierre Bex a participé à l'essor fulgurant de la chirurgie cardiovasculaire à Paris, puis à Marseille et en Italie.
   Maintenant ce sexagénaire alerte et nomade, curieux de tout, continue de voyager “rugueux” dans la vie et la diversité du monde. Allergique au prêt à penser et avide de liberté, il a posé son bistouri et pris la plume.

Le blog de l'auteur

Dans la presse

Les 4 Vérités Hebdo, n° 996, 5 juin 2015

   Le docteur Jean-Pierre Bex constate, comme nous tous, l’effondrement et le déclin de notre patrie. Il examine dans cet ouvrage les causes principales de cette situation: mondialisme, antiracisme et cosmopolitisme (ce qu’il appelle le MAC); système financier déconnecté de l’économie réelle ; poids étouffant de l’administration... La crise, nous dit l’auteur, n’est pas seulement, ni même principalement, économique ; elle est profondément culturelle et morale. Et, pour en sortir, il faut revenir aux racines de notre vieille civilisation française, si honnies des « zélites » (comme dit joliment Jean-Pierre Bex). Sans ce retour aux sources du génie française, la décadence ne peut que s’accélérer...