La femme éternelle
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La femme éternelle

Gertrud von Le Fort

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« Tout ce qui a été écrit d’autre depuis des décennies sur la femme est maintenant devenu inutile et superflu. » Edith Stein

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Préface de Xavier Tilliette, s.j.
Traduction et notes d’Henri Peter 

 

   L’éternel féminin fascine autant les hommes que les femmes. Les poètes le chantent, les philosophes le scrutent, les théologiens l’exaltent. Ce chef d’œuvre de l’écrivain allemande Gertrud von Le Fort (1876-1971) en témoigne, hymne intemporel inspiré par le regard d’Edith Stein, son amie déportée, moniale et fille de sainte Thérèse.

   Dans une prose déliée et mue par l’Amour, voici l’antidote à la guerre des sexes de Simone de Beauvoir, célébration dans le temps hors du temps, au-delà du temps d’une féminité transfigurée par la grâce de Dieu.

 

L’auteur

   Poète, romancière et nouvelliste d’outre Rhin, Gertrud von Le Fort (1876-1971) a inspiré les plus grands écrivains du XXe siècle, parmi lesquels Georges Bernanos avec La dernière à l’échafaud. Son art littéraire servi par un sens théologique des plus aigus la rapproche de Marie Noël dont elle partage la foi chrétienne et l’amour de la nature. 

 

Du même auteur :

L’enfant étranger

Ecrits de résistance

 

Dans la presse

 

Renaissance catholique, n°102, mai-juillet 2008

   Hommes pressés et futiles s’abstenir… L’ouvrage de Gertrud von Le Fort se lit un crayon à la main dans le recueillement et le silence que semblent exiger la nature, l’ampleur et l’ambition du sujet.
Paru en 1935, ce livre reçut le commentaire élogieux d’Édith Stein (future sainte Thérèse-Bénédicte de la Croix) : « Tout ce qui a été écrit d’autre depuis des décennies sur la femme est maintenant devenu inutile et superflu ».
Les réflexions sur la femme Vierge, épouse et mère sont d’une rare densité et hauteur spirituelle. Citons quelques passages : « La virginité dispose donc particulièrement à l’action, et libère en vue de l’action. » « Le génie féminin ne se découvre véritablement que dans le domaine religieux. » « La femme qui fait don de soi à l’homme, qu’importe sous quelle forme elle le fasse, lui apporte ainsi en dot la moitié du monde. » « L’homme créateur, qui n’honore plus Dieu, n’annonce plus que lui-même. » Etc.
Sans oublier l’opportun rappel de Richard Wagner : « Qui n’honore pas son passé, n’a pas d’avenir. » À ranger soigneusement à côté du précieux ouvrage du cardinal Mindszenty La mère, miroir de Dieu.
Yves Amossé

Famille chrétienne, n°1588, du 21 au 27 juin 2008

Via Romana réédite le magnifique texte de Gertrud von Le Fort (1876-1971), La Femme éternelle, sur la féminité transfigurée par la grâce de Dieu, ainsi que L’Enfant étranger, évocation à peine romancée de son enfance.

Monde et vie, n° 796, 7 juin 2008

   Gertrud von Le Fort (1876-1971) n’est guère connue en France, et c’est bien injuste puisque celle que l’on surnomme « la Marie-Noël allemande » est à l’origine du Dialogue des Carmélites. Combien savent encore que la célèbre œuvre de Bernanos n’est en fait que l’adaptation cinématographique de La dernière à l’échafaud de Gertrud von Le Fort ? Un récit tiré de l’histoire des carmélites de Compiègne à laquelle l’auteur imagina – en s’inspirant de son propre patronyme –, d’ajouter le personnage fictif de Blanche de La Force. Difficile jusqu’à présent de trouver du Gertrud von Le Fort ailleurs qu’au fond d’un bac de bouquiniste. Les éditions Via Romana nous donnent donc une occasion unique de découvrir ou faire découvrir cet auteur grâce à deux rééditions : le roman L’enfant étranger, et La femme éternelle, essai théologique et littéraire. (...)
Quant à l’essai philosophique La femme éternelle, Gertrud von Le Fort vient nous y livrer en clair ce que l’on devine en filigrane tout le long de son œuvre romanesque: si l’homme détient la puissance apparente, c’est la femme, cachée sous le voile, qui est la plus forte… et elle n’est vraiment femme que lorsqu’elle est offerte: « Partout où il y a don de soi, on voit rayonner le mystère de la femme éternelle ». 

 

Valeurs actuelles, 10 juillet 2008

[...] La Femme éternelle représente la colonne invisible du monde : l’auteur célèbre la femme "dans le temps", puis "hors du temps", de "la puissance d’offrande du cosmos" à celle de l’acceptation de qui tout est suspendu, Notre Dame. Gertrud von Le Fort remarque que le monde qui se coupe de la femme est celui "des cavaliers de l’Apocalypse", un monde qui se voue à la destruction.

Philippe Barthelet

 

La Nef, n°196, septembre 2008

Dans une prose déliée et mue par l’Amour, l’antidote à la guerre des sexes, célébration dans le temps hors du temps, au-delà du temps d’une féminité sous toutes ses facettes transfigurée par la grâce de Dieu.

 

L’Homme Nouveau, n°1435, 20 décembre 2008

[...]La Femme éternelle est une pure merveille à la fois théologique, anthropologique et littéraire. Vierge, épouse et mère, la femme est ici présentée d’une manière étonnamment juste dans toutes les dimensions de son génie propre, que l’Église seule sait percevoir et enseigner grâce à sa contemplation du mystère de Marie. Insistant sur l’aptitude au don comme élément constitutif de la féminité, Gertrud von Le Fort analyse les dommages qui résultent de la recherche de soi et de la compétition avec l’homme, perversions qui entraînent un déséquilibre mortel au sein de l’humanité. [...]

Annie Laurent

 

978-2-916727-26-4
17 Produits

Fiche technique

Couverture
souple
Date de parution
avril 2008
Dimensions
13.5 x 20.5 cm
Pages
98
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