Journal inexorable
Maxence Caron
Combien d’insultes se préparent contre mon humilité cosmique... L’heure commence où une génération neuve naît de mon œuvre neuve : l’œuvre est là, partout en ma tête , c’est une œuvre gigantesque : j’ai mal à la tête...
« Combien d’insultes se préparent contre mon humilité cosmique...
L’heure commence où une génération neuve naît de mon œuvre neuve : l’œuvre est là, partout en ma tête ; c’est une œuvre gigantesque : j’ai mal à la tête.
J’ai chanté ici, auprès de vous, mes pages, dans notre intimité, l’approche amoureuse de Celle que prétextant tout ils ont tous fui : la Présence.
Les penseurs : y en a-t-il ? Où sont-ils ? Ont-ils place derrière leurs oreilles de cocker, ces moins que chancres ?
Je chante la teneur de la Substance Prime, par-dessus la tête des mondes philosophiquement constitués.
Il y a, avant que de dire combien ils ont retenu la Vérité captive,
Il y a, avant de dire la désobstruction de la conscience réflexive et la source trinitaire de cette énergie spirituelle,
Il y a, entre mes mains, dans ce Journal qui devance l’œuvre principale,
Il y a ce nocturne sourdissant avant la profonde Aube de pourpre. »
MAXENCE CARON
Du même auteur
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Fiche technique
- Couverture
- souple
- Date de parution
- octobre 2012
- Dimensions
- 13.5 x 20.5 cm
- Pages
- 780